Avoir de bons amis est une composante essentielle d’une vie complète et satisfaisante, et cela s’applique à tous les êtres humains.
Pour le confirmer, plusieurs études scientifiques, notamment psychologiques, étudient le rôle et la valeur des amitiés non seulement au niveau social mais également en termes de bien-être psychophysique.
Les cas, où les amis prennent une importance encore plus grande que la famille, ne sont pas rares, ou souvent ils sont une alternative lorsque la famille est absente ou ne fournissent pas une affection et un soutien émotionnel adéquats.
Pour les femmes, en particulier, aller rendre visite à des amies ou à d’autres amies en dehors du couple, est essentiel pour leur bien-être, à tel point que les experts en sont venus à « prescrire » un nombre minimum de fois par semaine à consacrer à la compagnie d’amis.
Selon des chercheurs de l’Université d’Oxford, pour pouvoir dire qu’elle est heureuse et satisfaite, une femme doit sortir avec ses amis au moins
le week-end, ou « étaler » ces deux rencontres en sept jours .
Passer du temps à faire des choses simples comme manger ou boire, discuter, rire et parler de choses signifie ajouter plus de qualité à sa vie.
C’est important de rompre la routine, de se ressourcer, pour que l’on puisse gérer le travail habituel, la maison, la routine familiale, sans en faire une «boucle» infinie.
Des avantages ont été trouvés même pour le système immunitaire, à tel point que dans le cas de maladies, les temps de guérison sont beaucoup plus rapides. Passer quelques heures à faire du shopping et à bavarder avec des amis contribue également à réduire les niveaux d’anxiété en permettant une meilleure gestion du stress quotidien.
Ce qui compte, c’est qu’ils sont de bons amis et que le nombre de membres du groupe ne dépasse pas quatre personnes. Au sein de cette « gamme », il est possible de développer un niveau idéal d’interaction et de plaisir, qui peut produire les hormones du bonheur. Dans les grands groupes, chacun est plus susceptible de diviser son attention et de ne pas pouvoir vraiment profiter de la compagnie de l’autre.